Charlie…
Paralysée par la tristesse des derniers événements, je n’ai pas eu le cœur d’écrire ici sur des sujets légers. Je sais que cette décision aura été partagée par de nombreux autres blogueurs. C’est une façon comme une autre de se recueillir, de marquer le deuil. D’ordinaire, j’aurais écrit avec mes tripes. J’aurais hurlé, pleuré de frustration devant mon impuissance, devant l’impossible retour en arrière. Puis je me serais battue, j’aurais cherché de l’optimisme là où l’espoir n’était plus permis, et j’aurais arraché de mon esprit les pensées les plus maussades pour y faire jaillir un peu de douceur.
Cette fois, c’est différent. Ce qui s’est passé est irréparable. Un hommage de plus ne changera pas la barbarie. Mais je me joins à tous ceux qui éprouvent une peine immense. Que la douleur puisse s’atténuer… La liberté devra rester l’arme la plus puissante.
A la semaine prochaine, pour des articles plus enjoués !
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